Me voici de retour sur la toile en l’espace de quelques heures.
Je vais changer à la fois de registre et de support. Je viens de finir, je devrais dire, samedi soir, un livre de Robin Hobb. Voici une petite biographie que j’ai trouvé sur wiki pour gagner un peu de temps. Je pourrais donner la source exacte au besoin.
Elle a commencé à écrire sous le pseudonyme de Megan Lindholm pour des revues en 1971, ainsi que des ouvrages dont on commence à trouver des versions traduites en français. Elle a connu son plus grand succès avec la première trilogie du cycle de l’Assassin royal (The Farseer Trilogy) en 1995.
Elle est mariée à un pêcheur et mère de quatre enfants. Elle affectionne particulièrement les chiens. Cela a sans doute influencé l’attirance de Fitz (héros du cycle de l’Assassin royal) pour les canins. Elle a aussi passé une partie de son enfance en Alaska.
Certains auteurs écrivent sous différents pseudonymes afin de pouvoir écrire dans des genres différents. Les ouvrages signés Robin Hobb et Megan Lindholm s’inscrivent principalement dans le domaine du médiéval-fantastique. La distinction se fait par des approches différentes du genre.
Je connaissais cet auteur pour une autre série d’ouvrage du cycle « Les cités des Anciens ». C’est dans cet ouvrage que j’ai découvert cet auteur il y a maintenant deux ans. J’ai eux un peu de mal à commencer le premier tome, mais quand j’ai vraiment trouvé le temps pour en live plus, je suis devenu un bon lecteur de cette série. Pour le moment, j’ai lu les ouvrages publiés en poche. Je pense en faire une petite explication rapide quand un nouveau tome sortira cette hiver. J’espère en fait.
Revenons à cet ouvrage, voici le petit résumé:
Les vivenefs sont des vaisseaux magiques liés à la famille qui les possède par des liens empathiques. Ces navires sont insaisissables, ils bravent les tempêtes, évitent les récifs, distancent les monstres marins, sèment les pirates… Et sont surtout l’objet de toutes les convoitises. Vivacia est la vivenef de la famille Vestrit. Le capitaine Ephron Vestrit est mourant et, parmi les siens, chacun ourdit complots et traîtrises pour s’approprier son vaisseau, car l’héritage d’une vivenef ne se transmet pas comme un legs normal. Et ce tandis que d’autres dangers se profilent à l’horizon : les serpents de mer qui infestent les océans se regroupent, et un ambitieux pirate aspire à unir ses pairs sous un seul pavillon : le sien…
Connaissant un peu l’univers de Hobb, je n’ai pas été surpris par rapport à mes premières armes dans son monde. J’ai donc lu avec plaisir le tome, même si il fallait appréhender les nouveaux personnages. L’écriture est claire, avec assez de description pour tout voir, tout en laissant une place importante à l’imagination. Les personnages sont peints autant physiquement que psychologiquement. Certains font froid dans le dos pour leur bassesse, quoi de plus normal pour un pirate. Par contre de la part d’un marchand, cela est plus surprenant.
Je vous laisse alors seule juge de le lire ou non.
J’espère que le prochain article sera des lignes de mon cru et non pas celui des autres. J’ai toujours un peu de mal à retravailler les écrits.