Le tailleur de Pierre de Camilla Läckberg

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Encore un audio livre de finit. Je commence à adore se principe de lecture. Mais je devient également accro. Je suis rester 10 mn l’autre jours dans la voiture pour savoir la suite.

Comme toujours un policier qui nous laisse hors d’haleine. Je vous laisse lire le résumé.

Résumé:

« La dernière nasse était particulièrement lourde et il cala son pied sur le plat-bord pour la dégager sans se déséquilibrer. Lentement il la sentit céder et il espérait ne pas l’avoir esquintée. Il jeta un coup d’œil par-dessus bord mais ce qu’il vit n’était pas le casier. C’était une main blanche qui fendit la surface agitée de l’eau et sembla montrer le ciel l’espace d’un instant.
Son premier réflexe fut de lâcher la corde et de laisser cette chose disparaître dans les profondeurs… »
Un pêcheur de Fjällbacka trouve une petite fille noyée. Bientôt, on constate que Sara, sept ans. a de l’eau douce savonneuse dans les poumons. Quelqu’un l’a donc tuée avant de la jeter à la mer. Mais qui peut vouloir du mal à une petite fille ?
Alors qu’Erica vient de mettre leur bébé au monde et qu’il est bouleversé d’être papa. Patrik Hedström mène l’enquête sur cette horrible affaire. Car sous les apparences tranquilles. Fjällbacka dissimule de sordides relations humaines – querelles de voisinage, conflits familiaux, pratiques pédophiles – dont les origines peuvent remonter jusqu’aux années 1920. Quant aux coupables, ils pourraient même avoir quitté la ville depuis longtemps. Mais lui vouer une haine éternelle.

Maintenant mes commentaires personnels, plusieurs choses me viennent en tête. Les points faibles. les flash backs sont un principe sympa, mais laisse le lecteur sur sa faim. En plus la fin me parait rapide, peu de détail est donné pour trouver soi-même le coupable, car les protagonistes en disent pas assez… L’autre côté, je crois que j’en ai déjà parlé dans l’article précédent est un vocabulaire facilement de charretier que je trouve un peu facile. Les points positifs maintenant. J’aime bien l’idée de l’évolution des personnages à la fois sur le plan professionnel et personnel. Les personnages secondaires deviennent attachants et on attend la suite de leur aventure personnel dans le romain suivant.

Essai post apocalyptique

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Bonsoir

J’avais ses premiers chapitres sur mon disque dur depuis maintenant deux ans. Autant en profiter pour les utiliser, car comme en ce moment, je n’ai pas d’inspiration sur mon autre roman, je me suis mis à corriger celui là.

Bien sur il faudra être indulgent, car pour le moment il n’a pas encore été lu.

Prologue

Une vingtaine de personnes se tenaient assise ou debout dans le Bureau ovale de la Maison Blanche. Les militaires de différents pays se regroupaient dans leur coin, tandis que les civils restaient dans le leur. Ils avaient tous une mine lugubre, la plus part avaient des cernes sous les yeux, seule l’adrénaline les maintenaient éveillés. Personne n’osait parler, deux scientifiques entrèrent dans la pièce. Le premier portait des dossiers sous le bras et le second un ordinateur portable.

  • Bonjour fit le premier scientifique, nous venons de terminer les premières analyses et cela se confirme…
  • Continuez professeur Mac Fréati, dit le président des Etats Unis assit derrière son Bureau ovale, les mains jointes comme si il priait.
  • Et bien le virus AZ2369 est le plus virulent que nous ayons vu répondit le second scientifique, même nos spéculations les plus alarmistes ne nous ont jamais préparé à cela.
  • Vous êtes à quel stade pour un traitement ? Demanda un général quatre étoiles.
  • Nous pensons qu’un quelconque traitement sera impossible à concevoir dans les semaines à venir peut-être, dans quatre mois, mais pas avant répondit le professeur Mac Fréati.
  • Et quand pensez vous pouvoir vacciner quand interrogea un civil.
  • Je pense que nous n’y arriverons pas, le virus est déjà apparu dans plusieurs foyers à travers le monde. Des scientifiques se sont déjà enfermé dans des bases pour rechercher un remède, mais cela va prendre du temps et nous s’en avons pas dit le second scientifique en tapant plusieurs fois sur son clavier d’ordinateur.
  • Et que pourrons nous faire alors ? Demanda le président des Etats Unis. Attendre le jugement dernier ?
  • Nous savons deux choses répondit le second scientifique, une partie de la population sera touché comme dans toutes les épidémies. Comme elle est très virulente, une grande partie de la population ne va peut être pas survivre. Nous n’avons pour le moment aucun chiffre, mais sûrement 10-20% de la population mondiale devrait survivre à l’épidémie.
  • Mon Dieu, cela va faire tomber entièrement notre société !

Ces mêmes mots furent prononcés dans toute la salle en différentes langues par les participants interloqués.

  • Pourquoi sommes nous alors réuni ici ? Interjeta un Asiatique.
  • Pour préparer la planète à ce changement de grande envergure sourit amèrement un scientifique devant son PC.
  • Que voulez vous dire ? Demanda un homme noir, en costume traditionnel Africain.
  • Une partie de la population mondiale va survivre. Mais nous ne devons pas les laisser avec des bombes à retardement un peu partout sur la planète dit un civil.
  • Vous voulez que nous mettions en sécurité vos armes ? Souffla ironiquement un représentant du Mexique.
  • Oui, fit le professeur Mc Fréati, tout ce qui ne peut pas être détruit dans les deux semaines doit être déplacé et entreposé dans des endroits sûr, nous ne savons pas ce qui va ressortir de cela, mais nous devons aider les survivants du mieux que nous le pourrons.
  • Et pour le nucléaire ? Demanda un présentant Russe ? Que préconisez-vous ? Un certain nombre de pays dont le mien possèdent à la fois des centrales nucléaires et des armes de destructions massives.
  • Nous devons démantelez tout ce que nous pouvons et enfermer le reste dans des bunkers, des bases secrets et bien montrer que les lieux sont dangereux, cria alors un colonel de l’Air Force.
  • Nous allons transmettre cela tout de suite ordonna le président des Etats Unis.
  • Les centrales nucléaires doivent également subir un démantèlement des barres radioactives et les stocker dans des endroits prévus à cet effet. Nous pensons que nous ne pouvons rien faire d’autre dans un délai aussi court. Nous verrons après pour les armes dit l’ambassadeur de France.
  • Devons-nous ou pas le dire au public ou pas interrogea le représentant de la République Populaire de Chine.
  • Non, nous ne devons pas lancer un vent de panique, nous allons juste préparer un message et quand l’épidémie sera à son pic, nous la diffuserons en boucle sur toutes les ondes continua le directeur de la NSA, nous en avons les moyens.
  • Je pense que nous devrions même décaler cela à quelques heures après que la plupart des personnes soient atteintes par la maladie, comme cela seuls les survivants ou les immunisés auront à l’entendre si ils le peuvent. Cela évitera des scènes de panique.
  • Comment cela demanda le président des Etats Unis ?
  • Et bien, il n’y aura alors plus d’électricité, d’eau courante, de gaz, de médicaments, de médecins, plus de civilisation poursuivit le professeur Frèati.
  • A ce point, nous devons prévoir du matériel facilement utilisable pour ceux qui arriveront disons à résister à la maladie.
  • A quoi pensez vous demanda le président de la France ?
  • Cela sera à chaque pays de savoir comment le définir fit le secrétaire de l’ONU.
  • Mais pour une meilleure harmonisation, je pense que nous devrions nous entraider, fit l’archevêque de Washington.
  • Maintenant, passons à la façon dont nous pouvons essayer de nous mettre à l’abri de cette maladie, dit le directeur de la NSA.
  • Les bunkers seraient une bonne solution, il en reste un nombre important qui peuvent être facilement remis en service dégluti le général de l’Air Force.
  • Nous devons stocker assez de nourriture pour survivre plusieurs années dans ces souterrains si nous voulons voir s’achever à cette pandémie dit le professeur Frèati.
  • Nous devons voir avec les réserves stratégiques mais je peux déjà vous dire qu’elles seront insuffisantes confirma un soldat.
  • Et pourquoi cela ? Demanda le président de la France.
  • Quelques semaines, cela pourrait aller, mais je ne pense pas qu’un enterrement à long terme pour notre survie soit réaliste avec si peu de ressource et si peu de temps pour l’organiser dit le second scientifique.
  • Nous devons augmenter notre stock le plus rapidement possible ordonna le président des Etats Unis.
  • En plus de cela nous allons nous faire remarquer par notre ponction sur les ressources mondiales dit le directeur de la NSA.
  • Nous devons sauver l’élite de ce monde ordonna le président Français.
  • Et le reste de la population ? Seuls nous comptons, le peuple n’est rien et nous nous devons absolument survivre, fit le représentant du continent sud Africain.
  • Combien de temps avons-nous avant que le virus commence à faire son apparition ? Demanda le Chancelier Allemand?
  • Dans une semaine, répondit le scientifique, le nombre de cas ne pourra plus être caché. Si nous mettons en place des zones de quarantaines. Avec ce principe, nous devrions pouvoir réduire la propagation. Nous risquons de créer à ce moment là des vagues de panique et un anti étatisme sur toute la planète sera difficile à gérer, mais cela nous donnera au moins une semaine de plus voire deux.
  • Cela ne sera pas un problème si une partie de cette dernière disparait ironisa l’ambassadeur Russe.
  • Prévoyez vous cela?
  • Une semaine après, donc dans deux semaines. Les infrastructures de quarantaine et sanitaire tomberont quelques jours plus tard, si nous voyons de façon les plus pessimiste possible, dans 20 jours tout au plus, la civilisation sera en péril et une dizaine de jours plus tard, le monde comme nous le connaissons n’existera plus dit le professeur Frèati.
  • Cela sera rapide dit le président de la France, nous devons nous mettre personnellement à l’abri le plus rapidement possibles, il avait pris le premier avions pour se assister à cette réunion.
  • Mais si les chefs d’Etat disparaissent ainsi que nos amis proches, cela va créer également un vent de panique sur toute la surface de la planète poursuivit le scientifique, il faudra que cela se fasse juste avant les premières émeutes.